Le rideau du petit théâtre de Georges Courteline s’ouvre sur des figures qui se contredisent ou s’invectivent, dans cette langue si joyeuse du vieux Montmartre qui est comme un feu d’artifice !
J’ai choisi de vous lire différentes petites scénettes issues du « miroir concave ». Cela donne un goût certain de ce théâtre et de son esprit espiègle : « une sorte de suite d’orchestre écrite pour musique légère, un prétexte à faire évoluer, conformément à la logique de leur petite psychologie, de petites historiettes ayant de tout petits commencements, de tout petits milieux et de toutes petites fins. »