Le rideau du petit théâtre de Georges Courteline s’ouvre sur des figures qui se contredisent ou s’invectivent, dans cette langue si joyeuse du vieux Montmartre qui est comme un feu d'artifice !

"Je suis un homme ridicule. Maintenant, ils disent que je suis fou. Ce serait une promotion, s'ils ne me trouvaient pas toujours aussi ridicule. Mais maintenant je ne me fâche plus (...)"

« Maman, je pars avec les rebelles, la situation à Cuba on ne peut plus la supporter. Batista est un assassin. »

"Mais moi, qui ne suis pas formé pour les galants ébats ni fait pour courtiser un luxurieux miroir, moi le mal équarri, à qui la majesté de l'amour fait défaut..."

"La vie est brève, alors jouissons du peu de temps qui nous est octroyé ici-bas, même si le scandale de la mort est susceptible d'obscurcir les instants les plus lumineux."

Voyage imaginaire en Commedia dell'arte avec Shakespeare, Molière et Goldoni.

"J'ai décidé de faire parler des femmes, de les faire parler de leur vagin, de faire des interviews de vagins... et c'est devenu ces Monologues. "

Parce que nous avons tous aimé et souffert d’amour, parce que nous avons tous ressenti que jamais cette blessure d’amour n’allait avoir de fin, je ne pouvais que choisir ce texte magnifique.

Parce que nous avons tous aimé et souffert d’amour, parce que nous avons tous ressenti que jamais cette blessure d’amour n’allait se terminer, je ne pouvais que choisir cette magnifique correspondance

Parce que la poésie s’adresse à notre âme, parce que la musique et la danse ouvrent nos cœurs et nous relient tous, parce que Paul Verlaine et Arthur Rimbaud cheminent avec moi depuis l’adolescence...

Parce que la poésie s’adresse à notre âme, parce que la musique et la danse ouvrent nos cœurs et nous relient tous, parce que Paul Verlaine et Arthur Rimbaud cheminent avec moi depuis l’adolescence...

Atelier de jeu autour de Tennessee Williams avec les comédiens de la compagnie Lettre Ouverte.

Des récits oraux et écrits de tous les pays du monde.

Texte majeur sur la peine de mort "vécue de l'intérieur". Sans préciser aucunement le motif ou le contexte de la sentence Victor Hugo donne une portée universelle à son propos.

Plongez dans les chambres intérieures de l’âme d’une diariste amoureuse, créatrice et passionnée de psychanalyse.

Une cour d’asile, deux femmes, un homme, un petit jerrycan troué. A et H prétendent traduire ce que dit B, le Shaga. B: Natagan oiseau ? H: Bête. Vous me demandez comment il est, je vous dis bête.