Parce que la poésie s’adresse à notre âme, parce que la musique et la danse ouvrent nos cœurs et nous relient tous, parce que Paul Verlaine et Arthur Rimbaud cheminent avec moi depuis l’adolescence...

Redécouvrez ces deux contes légendaires dans une narration musicale en deux parties sur fond de piano jazz ! Immersion garantie ! Dyptique musical pour tous les âges.

Dans La vie est Kurt se côtoient filles de joie, mères de dictateur ou encore déesses devenues mortelles. Ici, la révolte a parfois des allures de fox-trot…

Chansons populaires avec un orgue de barbarie qui nous plongent dans un univers de bal guinguette.

Deux farces douces amères sur un passé qui ne passe pas : un vieil acteur ne s'est pas relevé d'une déroute amoureuse ; un fonctionnaire de campagne ne se relève pas d'une déroute domestique

On dit souvent que le vin permet d’oublier. Il permet en effet d’oublier le passé, l’avenir, et de se consacrer entièrement au présent, dans une merveilleuse contemplation du monde.

« Maman, je pars avec les rebelles, la situation à Cuba on ne peut plus la supporter. Batista est un assassin. »

Comédie absurde de René de Obaldia (Académie Française). À la fois drôle, grinçant et cocasse, le texte s'inscrit dans le registre de l'humour noir.

Texte majeur sur la peine de mort "vécue de l'intérieur". Sans préciser aucunement le motif ou le contexte de la sentence Victor Hugo donne une portée universelle à son propos.

Après dîner, Marthe et Pierre s'adonnent à leur "petit jeu préféré" : parler d'adultère en l'absence de leurs conjoints, au risque de se prendre au piège de leur marivaudage.

"C'est une folie de haïr toutes les roses parce qu'une épine vous a piqué, d'abandonner tous les rêves parce que l'un d'entre eux ne s'est pas réalisé (…)." Lecture musicale.

Le rideau du petit théâtre de Georges Courteline s’ouvre sur des figures qui se contredisent ou s’invectivent, dans cette langue si joyeuse du vieux Montmartre qui est comme un feu d'artifice !

C'est un conte. Il constitue un petit récit largement autobiographique mais sous forme d’une transposition fantaisiste et mythique du destin de l’auteur. La « bataille » des poètes est sans fin...

"Je suis un homme ridicule. Maintenant, ils disent que je suis fou. Ce serait une promotion, s'ils ne me trouvaient pas toujours aussi ridicule. Mais maintenant je ne me fâche plus (...)"

Un conte en forme d'hommage original et sincère à l'esprit libre de l'homme Brassens et ses annés de bohème parisienne. Ouvrier de la parole, Sébastien raconte, incarne. Il a sa guitare avec lui.

Une intervention musicale, au saxophone solo, pour découvrir plusieurs époques du répertoire et apprécier le saxophone sous des angles variés.